
Caitlin Miron étudie la chimie à l’université de Queen au Canada. À 28 ans, lors d’un stage à l’institut Européen de Chimie et de Biologie à Bordeaux, elle a découvert un composé qui permettrait de désactiver les cellules cancéreuses en stoppant leur prolifération.
L’étudiante définit cette molécule comme une sorte de super glue qui empêche les cellules malades d’atteindre la section de l’ADN où elles pourront se développer et se propager.
Cette découverte pourrait être appliquée à d’autres maladies, comme le VIH. Selon Caitlin Miron, la commercialisation de ce traitement pourrait intervenir d’ici 8 ans.
Oh oui claire ça serait un plus pour les malades
d’après certains articles médicaux ils parlent même d’une commercialisation d’ici 2 à 5 ans, souhaitant qu’ils disent vrai
Ça c est une merveilleuse découverte!!
Si le lobbies labo la laisse faire
Merveilleux !