
C’est une bonne nouvelle pour l’environnement en particulier et pour la planète en général .
Au milieu des années 1950 il n’en restait plus que 450, une véritable hécatombe. La baleine à bosse a été victime d’une chasse intense. Elle était traquée pour sa chair, son cuir, mais aussi sa graisse qu’on utilisait pour le chauffage ou l’éclairage.
Aujourd’hui, sa population serait quasiment restaurée, affirme une étude publiée par la Royal Society et relayée par le Time samedi 16 mai. Elle atteint 93 % de son volume d’origine.
Les baleines à bosse qui se reproduisent au large des côtes du Brésil et habitent les eaux antarctiques pendant l’été, sont aujourd’hui aussi nombreuses qu’avant les jours de chasse à la baleine.
Un renversement de tendance que l’on doit à l’instauration d’un moratoire interdisant la chasse à la baleine commerciale dans les années 1980.
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