
Des chercheurs du “Wake Forest Institute for Regenerative Medicine” en Caroline du Nord ont imprimé en 3D un modèle microscopique du corps humain contenant la plupart des organes vitaux. Le système miniature sera utilisé pour détecter les effets potentiellement nocifs des médicaments avant leur essai sur l’homme.
Grâce à ce procédé révélé par la revue iopscience, la mise sur le marché de nouveaux médicaments pourrait intervenir plus tôt, en diminuant certains des coûts associés aux essais cliniques et en réduisant les tests sur les animaux.
L’élimination des médicaments nocifs au début du processus de développement pourrait permettre d’économiser des milliards de dollars et de potentiellement sauver des vies.